Dans la mort il n'y a ni races, ni religions, ni ethnies, ni couleur de la peau.
Il y a une âme torturée à jamais, qui laisse à ceux qui restent un arrière goût du f=déjà vu, savoir que l'enfant n'es plus là, que sa chambre restera éternellement vide, que ses photographies jaunieront sans avoir été remplacées ou ajoutées, et qui comme la(e) regretté(e), le temps s'y est arrêté pour toujours, et chaque année au moment des fêtes, des aniversaires cet être fera rechurgir le passé et ses sourires, et nous dira ne m'oubliez pas.
Je commente entre autre la mémoire de petites majorettes de l'Oise il y a une vingtaine d'années tuées sur la route lors d'un accident de car qui les transportaient en un lieu de festivités qui se transforma en drame et en deuil pour toutes les majorettes de France.
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